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Un plan d'alerte en cas de tsunami ?

 

> Ce qui est déjà arrivé : 

 

Tsunami à l'aéroport = voitures soulevées à Antibes, 1 mort

Ce scénario peut-il se reproduire ?


Certes les travaux sont définitivement arrêtés sur l'aéroport, mais toute la région est en zone sismique et le sous-sol qui soutient l'aéroport est très argileux.

 

 

> Nous somme en zone sismique : un nouvel effondrement est possible

Zone

Villes concernées

Sismicité moyenne

Cagnes sur Mer, Carros, Coursegoules, Saint Laurent du Var, Vence, Beausoleil, Breil-sur-Roya, Contes, L’Escarène, Guillaumes, Lantosque, Levens, Menton, Nice, Puget-Théniers, Roquebillière, Roquesteron, Saint Etienne de Tinée, Saint Martin Vésubie, Saint Sauveur sur Tinée, Sospel, Tende, Villars sur Var, Villefranche sur Mer

Sismicité faible

Antibes, Biot, Cannes, Grasse, Le Bar-sur-Loup, Le Cannet, Mandelieu-La Napoule, Mougins, Saint-Auban, Saint-Vallier-de-Thiey, Vallauris

source : ministère de l'écologie et du développement durable http://www.prim.net

 

> Qui est exposé ?

Pour nous les personnes exposées sont : 

- les passagers des avions en stationnement, en attente de décollage.

- les personnes en mer : touristes, plaisanciers, plongeurs, chasseurs sous-marin, nageurs, pêcheurs.

- les personnes à pieds et en voiture situées sur le littoral et dans les quartiers proches de la mer.

 

> Quels sont les facteurs qui amplifient les risques

- travaux dans le delta du Var

- le Var en cru

- tremblement de terre

- vent fort entraînant la houle, que ce soit vent d'Est ou mistral.

 

> Quels moyens à mettre en oeuvre ? A notre connaissance aucune mesure de prévention particulière n'a été prise pour donner une alerte rapide en cas de nouveau tsunami.

Dixit le ministère de l'écologie et du développement durable (http://www.prim.net, citation du 4 fév. 2005) :

"Nous sommes exposés au risque lorsque nous sommes surpris par l'événement, que nous croyons à tort être en lieu sûr et que nous ne pouvons atteindre à temps un refuge.

Notre vulnérabilité dépend de :

- notre connaissance préalable du phénomène (information préventive)

- les caractéristiques du phénomène (intensité, rapidité, étendue…)

- nos conditions d'exposition ou au contraire d'abri (intérieur ou extérieur d'un bâtiment, d'un véhicule, résistance du lieu refuge, obscurité, froid, sommeil) 

- l'importance de notre formation préalable aux premiers gestes de sécurité

- notre comportement pendant le phénomène "

Or, si nous connaissons le phénomène, ses caractéristique, il s'avère pour nous indispensable de mettre en place un moyen à la hauteur de la rapidité d'un tel phénomène.

 

> Qui peut donner l'alerte et comment la transmettre sur les lieux à risque ?

Pour nous il faut : 

- former et missionner le personnel de la tour de contrôle de l'aéroport de Nice pour qu'il sache comment donner l'alerte en cas d'effondrement ou de recul rapide du niveau de l'eau (effondrement sous marin sans effondrement de la piste). 

- informer les passagers à bord des avions, avant la mise en place de l'avion en position de départ pour le décollage, des attitudes à adopter en cas d'effondrement de la piste.

- un appareil de mesure du niveau de l'eau avec des relevés en temps réel. Cela permettrait de comparer le niveau de l'eau avec le calcul théorique des marées, en tenant compte de la pression atmosphérique. Côte d'alerte : recul anormal de plus d'un mètre comme ce fut le cas en 79.

- mettre un numéro de téléphone ou plusieurs numéros à la disposition de tous par le biais de panneaux au port de St Laurent du Var.

- en cas de séisme suivit d'un tsunami à l'aéroport, les villes qui peuvent être mises en danger par une vague importante sont : Antibes et Nice en premier lieu, puis la côte nord-ouest de la Corse. Or en cas de séisme, certains moyens de communication peuvent être coupés. Il faut donc être capable de prévoir plusieurs pannes successives et prévoir des moyens de communication diversifiés.

- mettre en place des hauts parleurs, sur les parties de littoral pouvant être concernées, à Antibes et Nice, pour pouvoir, une fois l'alerte donnée d'un côté, transmettre l'information en un temps record aux personnes exposées.